La cuisson à la poêle : l’aliment est contraint à imprégner les graisses issues des huiles ou des autres matières grasses ajoutées lors de la cuisson. Dû à la haute température de cette cuisson, les aliments perdent beaucoup de leurs nutriments. Les aliments trop cuits ou imprégnés d’huile « brûlée » sont connus pour irriter l’estomac.
Le beurre traditionnel n’est pas conçu pour être utilisé chaud. Cependant, il existe des beurres spécialement conçus pour la cuisson.
Si malgré tout, vous souhaitez poursuivre ce mode de cuisson : utilisez le minimum d’huile. N’utilisez pas d’huile déjà cuite précédemment. Privilégiez les huiles qui tiennent la chaleur comme l’huile d’olive.
La cuisson au barbecue : elle ne nécessite pas d’ajout de matières grasses. Lors de la cuisson, une grande partie des graisses des viandes sont évacuées. L’excès de cette pratique est mauvaise pour la santé, car le gras qui s’écoule lors de la cuisson des viandes et des poissons prend feu au contact des braises, carbonisant l’aliment. Ce problème doit être relativisé du fait que cette cuisson est saisonnière, donc peu fréquente.
De plus, ce risque peut être limité en adoptant les astuces suivantes :
Pour une bonne cuisson barbecue : placez les aliments suffisamment éloignés du feu. Retirez les parties noircies des aliments avant de les manger.
La cuisson à l’eau : elle représente une bonne alternative à la cuisson à la poêle. Cette méthode est appréciée des estomacs fragiles, notamment parce que la viande ressort tendre et sans aucune matière grasse ajoutée.
Néanmoins, cette cuisson possède l’inconvénient d’enlever aussi les vitamines présentes dans les aliments. Ces vitamines se retrouvent dans l’eau qui est jetée à la fin de la cuisson. Ces aliments peuvent perdre jusqu’à 70% de leurs valeurs nutritives.
Si vous avez recours à ce type de cuisson, il est recommandé de faire un bouillon à partir de l’eau récoltée pour récupérer toutes les vitamines perdues des aliments.
La cuisson « en sachets » : elle est très bénéfique, notamment pour les viandes. La viande est mise dans un sachet plastique conçu pour être mis dans un four. Il n’y a pas besoin d’ajouter de matières grasses. La viande va se cuire dans ses propres sauces, se mélanger aux assaisonnements tout en permettant de garder l’intensité des saveurs sans la sécher.
Ce mode de cuisson ne diminue pas les apports nutritifs des aliments.
Le seul inconvénient est la nécessité d’acheter ces fameux sachets plastiques conçus pour le four.
La friture : les aliments frits regorgent de graisses nocives pour la santé. Ils augmentent les risques de maladies cardiovasculaires.
Pendant une friture, l’eau des aliments s’évapore et elle est remplacée par l’huile, qui imprègne l’aliment. De ce fait, la teneur en gras d’une pomme de terre cuite dans l’huile passe de 0,1 à 12 grammes.
Si parfois, on décide de frire les aliments, il est recommandé d’avoir une température de friture située entre 155° et 180°. Une température trop élevée (supérieure à 180°) augmente l’absorption de l’huile par les aliments et entraîne la formation d’acrylamide, une molécule cancérigène. Une température trop basse (inférieure à 155°) augmente la durée de la friture et donc de l’absorption de l’huile par les aliments.
Plus l’huile vieillit, moins elle est fluide et plus les aliments seront imbibés. Voici les signes qui montrent qu’il est temps de changer l’huile de friture : l’huile fume et elle mousse lorsque vous y trempez les aliments. La couleur de l’huile devient sombre.
Le micro-ondes : Le processus du réchauffement au micro-ondes consiste à générer de la chaleur de l’intérieur. Les molécules d’eau sont mises en vibration par les rayonnements émis par le micro-ondes, ce qui chauffe les aliments à l’intérieur en à peine quelques secondes. Cette méthode n’est pas naturelle. La nourriture réchauffée au micro-ondes n’a pas le même goût et la même consistance que lorsqu’elle est chauffée différemment. Ces rayonnements dénaturent les nutriments. C’est pour cela qu’il vaut mieux éviter de chauffer les aliments au micro-ondes.
La cuisson à la vapeur : à ne pas confondre avec «la cuisson à l’eau» (où les aliments sont plongés dans de l’eau). La cuisson vapeur s’effectue dans un récipient adapté. Elle permet de garder le goût authentique des aliments ainsi que l’intensité de leurs couleurs. Ce mode de cuisson ne nécessite pas d’ajout de matières grasses. Elle permet de conserver un maximum de vitamines et d’éléments nutritifs, c’est pourquoi elle est considérée comme la forme la cuisson la plus saine.
Le Vitaliseur de Marion est connu pour sa cuisson vapeur qui cuit les aliments à coeur sans dépasser les 95°, contrairement aux cuissons traditionnelles qui dépassent toutes largement 100°
Voici les points fort du Vitaliseur :
Le verdict : avec toutes ces méthodes de cuisson, il serait dommage de céder à la facilité en jetant vos aliments dans une poêle pleine d’huile. Laissez de côté vos mauvaises habitudes. Faites l’acquisition d’un Vitaliseur, vous verrez que votre organisme vous en sera très reconnaissant !